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Les Rêveries

Pour que chacun·e se sente concerné·e par la jeunesse accompagnée dans les établissements sociaux et médico-sociaux !

Les Rêveries visent à réinterroger le paradigme de l'inclusion, en invitant l'extérieur à l'intérieur des établissements médico-sociaux à travers la création d'espaces tiers. Pour cela, nous nous appuyons sur les potentialités de l’espace, les besoins du territoire, les singularités du public et les spécificités de l’établissement. Les formes que prendront ces Rêveries collectives dépendront de l’ensemble de ces éléments.

La méthode

1. L'immersion

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2. L'arpentage

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La Petite Sœur part à la découverte du paysage territorial de l’établissement et rencontre des acteurs « du coin » afin de comprendre le regard qu'ils portent sur l’établissement et le public qui y est accueilli.

Un acteur « du coin », c’est un acteur qui connaît le territoire, qui est d’accord pour partager son regard professionnel et sensible. Il a un bout de l’histoire des lieux, une façon de voir qui permet au collectif de le découvrir différemment.

3. L'action

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À partir du croisement de l’arpentage et de l’immersion, l’équipe de la Petite Sœur, en lien l'établissement bricole les contours d’une action qui aura vocation à permettre une meilleure connaissance et interconnaissance entre les publics accueillis et les citoyens du territoire. Les actions envisagées peuvent mettre à contribution les publics si cela a du sens.

Ces actions peuvent être variées et s’adaptent en fonction du territoire et de la typologie d’établissement. Elles s’inscrivent dans le prolongement de la mission de l’établissement hôte de l’expérimentation.

4. Le bilan

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Un bilan est ensuite effectué avec l’ensemble des parties prenantes pour croiser les regards sur l’effet de cette tiercéité dans le quotidien de l’établissement. Ce bilan peut prendre différentes formes. Il est co-construit dans ses objectifs et son format avec le lieu d’accueil.

Ce temps de bilan permet à chacun de revenir sur le vécu de la collaboration et de restituer son point de vue. Il est une source d’apprentissage précieuse pour le collectif de la Petite Soeur et les partenaires impliqués.

Différents objets peuvent également laisser trace de cette cohabitation (transformation des espaces, court-métrages, productions artistiques…)